Un quart des salariés passe plus d’une heure par jour à gérer ses mails

9 janvier, 2013   

Une heure par jour pour traiter ses mails, voire plus de deux heures par jour pour 7 % des salariés, cela peut paraître peu dans une journée de 24 heures (à peine plus de 4 % du temps).

Mais si l’on considère que les mails personnels ne sont lus que le soir (61 % des clics perso ont lieu après la journée de travail), la tranche horaire est nettement plus courte et donc le pourcentage de temps consacré à ses mails, proportionnellement beaucoup plus long ( près de 25 % de la fin de journée).

Il est donc nécessaire de gagner du temps. Commencez par éliminer vos mails sans intérêt. Pour près de 35 % des personnes interrogées, plus d’un quart des messages sont considérés comme « inutiles ». Ce constat est identique pour les messages professionnels, qui ajoute au stress et nuit aux qualités de travail.

Alors sélectionnez, optimisez et rationalisez vos mails.

Source:l’Entreprise

 

Un projet entrepreneurial pour une innovation : Brumes Gourmandes

12 novembre, 2012   

Vous avez peut être vu des photos, lu des articles de presse ou encore vu à la télévision ces nouveaux produits  ? C’est normal ! La couverture médiatique autour de cette innovation est exceptionnelle.

Alors : qu’est ce que Brumes Gourmandes ?

Brumes Gourmandes est la première collection de spiritueux et eaux de vie en spray pour une cuisine créative. De l’entrée au dessert, les grands alcools du patrimoine gastronomique français redeviennent tendance par une juste dose et un geste pratique.

Brumes Gourmandes, c’est aujourd’hui trois gammes et neuf parfums :

Terroirs de France. Des classiques à découvrir sous un autre jour :

Pastis, Marc de Bourgogne AOC, Fine de Bourgogne AOC, Prunelle de Bourgogne AOC, Cognac AOC.

 

Saveurs du Monde. De nouveaux horizons sensoriels à explorer :

Scotch Whisky, Rhum Ambré de la Martinique

Eaux de Vie de Fruits. Elégance aromatique et saveurs expressives :

Kirsch, Poire Williams

L’INNOVATION DU SPRAY : Juste dose et geste pratique

Chaque pression sur le spray Brumes Gourmandes© libère une quantité très faible (0,2 ml) de produit. Chaque flacon permet ainsi, au minimum, 500 vaporisations. Ce mode de diffusion est également un booster d’arômes grâce aux millions de gouttelettes diffusées avec précision.

Ces flacons ergonomiques et élégants sont faciles à utiliser en cuisine comme à table par tous les cuisiniers recherchant « la petite touche qui fait la différence »

DES SAVEURS INTENSES ET AUTHENTIQUES

100%  naturelles, créées spécifiquement pour un usage culinaire et à table.

Les sprays Brumes Gourmandes© sont 100% naturels. Ils ne contiennent rien d’autre que de grands spiritueux, purs et intenses, provenant de petits producteurs reconnus pour la qualité de leur produit

UN NOUVEL INGRÉDIENT PRÉCIEUX

À utiliser sans modération de l’apéritif au dessert. Brumes Gourmandes© : la petite dose créative de tous les instants gourmands du quotidien.

En cuisine et à table, Brumes Gourmandes© permet d’assaisonner chaque plat de façon simple et ludique : apéritifs, soupes, entrées, poissons, viandes, fromages, desserts.

Pour des cocktails savoureux, classiques ou audacieux, comme ingrédient ou touche finale

Sur des boissons froides ou chaudes (thé, irish coffee, chocolat chaud)

Pour revisiter les petites gourmandises traditionnelles : trou glacé (bourguignon, lorrain… selon la région!) ou le canard accompagnant le café en fin de repas .

LE PROJET DE DEUX ENTREPRENEURS GASTRONOMES

Philippe VANÇON et Jean-David CAMUS sont deux amis. Ils travaillent depuis 20 ans dans l’univers passionnant des grands vins et des produits de goût.

L’idée de Brumes Gourmandes© est né en 2007 à l’occasion d’un cours de cuisine offert pour l’anniversaire de Philippe! Il faudra aux deux entrepreneurs-gastronomes plusieurs années d’essais et de recherches (et de nombreux repas!) pour créer les 9 premiers produits

En Avril 2012, c’est le lancement officiel de Brumes Gourmandes© depuis Beaune, ville d’art de vivre au cœur de la Bourgogne gastronomique. Brumes Gourmandes© est membre de Vive La Bourgogne, association de 20 sociétés produisant les meilleures spécialités régionales.

Plus d’informations sur www.brumes-gourmandes.com

Les missions en cours – 2ème semestre 2012

7 novembre, 2012   

Les missions de PHILIPPE VANÇON & Associés s’enchainent depuis le début de cette année.

Cela confirme le besoin exprimé par les dirigeants de la filière Vins et Spiritueux, de faire appel à des ressources externes.

Les accompagnements que nous gérons actuellement s’articulent autour des compétences de notre structure.

A savoir, le repositionnement stratégique d’un domaine Bourguignon sur le marché export. Ou comment pérenniser les positions actuelles et dans un même temps gagner de nouveaux marchés et construire une notoriété à l’internationale ?

Pour un autre partenaire, nous devons  trouver de nouvelles débouchées régionales tout en préservant une clientèle historique, fidèle et exigente. Une évolution packaging et tarifaire sera nécessaire.

Un travail intéressant nous amène également à réfléchir sur la réorganisation du service back office au sein d’une exploitation viticole : ses missions, son rôle pivot au sein de l’exploitation, la mise en perspective de sa valeur ajoutée dans le développement de l’entreprise.

Par ailleurs, les exploitations viticoles, notamment familiales, doivent répondre à des questions qui se situent souvent à la frontière entre la sphère professionnelle et personnelle. Ou encore savoir gérer un changement de génération et comment transformer un passage de témoin en un accélérateur, un déclencheur de prises de décisions et apporter une nouvelle dynamique à l’entreprise ? La encore, un travail en commun est nécessaire et notre expertise très utile.

De même, la formation des équipes commerciales est essentielle pour qu’elles puissent s’exprimer pleinement et apporter toute la dynamique nécessaire à la prise de nouveaux clients. Ce fut le thème d’une formation ou « Pourquoi une bonne organisation commerciale permet de gagner de nouveaux clients ? »

PHILIPPE VANÇON & Associés a participé activement aux recrutements de commerciaux pour le compte d’un prestataire de la filière vin. Après avoir identifié et partagé avec l’employeur ses besoins et objectifs, nous avons défini un profil de candidat. Nous avons ensuite organisé les recherches, pré-sélectionné des candidats qui ont été présentés à l’employeur qui a ainsi pu recruter la personne de son choix.

Il est un fait que le thème récurrent aujourd’hui au sein des entreprises que l’on accompagne, se concentre autour du commerce ou comment mieux vendre ? L’ensemble des étapes amont et aval sont essentielles mais ne prennent que plus d’importance et de valeur si l’activité commerciale est efficace et pertinente.

Rendre performant les réseaux commerciaux internes et externes : de nouveaux challenges pour PHILIPPE VANÇON & Associés.

Vos mails vont disparaître !

3 octobre, 2012   

Les mails ou, si vous préférez les courriers électroniques, ont pris une place prépondérante dans nos vies personnelles et professionnelles en très peu de temps. De nombreuses questions se posent sur leurs impacts rééls et leurs évolutions futures. Nous essayons d’apporter ici quelques éléments de réponse.

La qualité du travail est elle impacter par une abondance de mails ?

Oui si l’on en croit plusieurs articles qui relatent des études réalisées dans des entreprises françaises.

Un article paru récemment dans le journal Le Monde titrait  « Mal de mail ». En effet, même si les mails sont utiles, ils peuvent rapidement devenir envahissants. Cela est dû à un nombre croissant d’utilisateurs (40 % aujourd’hui des salariés utilisent quotidiennement le mail contre 10 % il y a quelques années) mais c’est aussi le fruit d’une utilisation anarchique.

A leur origine, les mails possédaient de nombreux avantages. Sont ils toujours vrais aujourd’hui ?

Le mail était pratique, rapide, simple d’utilisation. Il permettait d’informer un grand nombre de personnes en même temps avec parfois des pièces jointes volumineuses. Il pouvait être envoyé quand on le souhaitait sans déranger son destinataire. Une véritable évolution dans nos modes de communication.

Tout cela est encore valable de nos jours, mais son utilisation non « réglementée » , sans code, ni formation véritable, a entraîné des excés faciles. Pour être sur de n’oublier personne, on met la terre entière en copie. Pour faire passer un message « délicat », on envoie un mail, pour communiquer avec son voisin de bureau, on envoie encore un mail, etc, etc. Nous avons tous de nombreux exemples en tête. Aujourd’hui nous passons au moins un tiers de notre temps à gérer nos messageries !

 Alors, devons nous supprimer les mails ?

Il est vraisemblable que la gestion des mails, dans la configuration actuelle, évolue rapidement. Certaines entreprises, telle que Canon France, organisent des journées sans mail, conséquence d’une étude démontrant que le mail était à l’origine d’un stress supplémentaire. Il a été constaté, lors de ces journées sans mail, plus de convivialité entre les salariés et une qualité de travail accrue.

Savez vous gérer le traitement de vos mails ?

Ils sont constamment présents  sur vos écrans d’ordinateurs, de tablettes ou de smartphones. Ils arrivent sans crier gare (parfois accompagnés d’une petite musique ou d’une lumière). On guette le chiffre mentionnant les mails non lus qui changent sans cesse et qui attire, en permanence notre attention. Bref, les interruptions sont incessantes. Quand on sait qu’un arrêt d’une minute se traduit  au final, par 2 minutes de perdues au minimum (le temps de retrouver le rythme initial). On comprend les effets négatifs d’une mauvaise gestion de ses mails et résultat des courses, vous arrivez en fin de journée avec le sentiment de na pas avoir fait ce que vous aviez  prévu.

Comment gérer vos mails ?

« Une messagerie, c’est comme un domicile : on s’y sent mieux quand tout est propre et bien rangé. »
Tentez de réduire le nombre de courriels reçus  (lettres d’information non lues, inutile de collectionner les messages si c’est pour ne pas les lire et les supprimer 3 mois après la réception, etc)
Le courrier électronique ne nécessite pas une gestion en temps réel, réservez des plages horaires pour lire vos mails
Tous les e-mails que vous recevez ne sont pas à mettre sur le même plan (sachez gérer  l’important de l’urgent)
Ne laissez dans la boîte de réception que les e-mails que vous jugez prioritaires
Qu’allons nous devenir ?
Si certaines entreprises (Casino) ont créé des guides de bon usage ou d’autres (Société Générale) préconisent de rester poli, en commençant par dire « Bonjour » (et oui, certain oublie), certaines entreprises  proposent de ne plus « mailer » durant le congés de fin de semaine (Volkswagen). Quoi qu’il en soit, l’homme doit rester au centre des préoccupations et des organisations. Le mail est un outil de travail (comme pouvait l’être le télex en son temps) et que cet outil accompagne le travail quotidien, la réflexion et la communication. L’homme doit rester maitre de sa gestion des flux d’informations (des entrées et des sorties) afin de travailler dans une organisation souhaitée et non subie.

 

 

La transmission des PME: mythes et réalités

4 septembre, 2012   

Les discours officiels sur la transmission des PME donnent parfois le tournis: 500 000 entreprises vont changer de main dans les dix prochaines années, soit 50 000 chaque année!
Vu de loin, cela pourrait laisser penser que pour tout acquéreur, repreneur personne physique ou industriel, il suffirait de se pencher pour trouver la cible idéale.
La réalité est plus prosaïque, comme le montre une étude récente réalisée par le cabinet Epsilon Research sur le «Baromètre de la transmission de PME en France».
Il faut tout d’abord avoir à l’esprit que 95% des entreprises françaises ont moins de 10 salariés et, quand on parle de PME, selon la classification européenne, il s’agit de sociétés dont l’effectif est compris entre 20 et 249 salariés.
Sur cette base, on dénombre 90 000 entreprises qui ont un potentiel de transmission tous les 20 à 25 ans, soit un taux de transmission de 4% à 5% chaque année.

Cela nous conduit à une évaluation de transmissions possibles de 4 500 affaires environ par an.

L’entonnoir du dénombrement ne s’arrête pas là car on estime qu’un tiers des transmissions est réalisé en interne (famille, salariés…).Il reste donc 3 000 sociétés environ qui vont changer de main chaque année au travers d’une cession externe: on est loin des 50 000 par an !Il faut d’ailleurs souligner que sur ces 3 000 transactions par an, à peine la moitié (40%) est réellement répertoriée en France avec des informations sur l’opération ; ce taux atteint 70% au Royaume Uni, pays où le recours à l’intermédiation est nettement plus développé qu’en France.

L’étude apporte également un éclairage intéressant sur les causes les plus fréquentes d’échec dans les opérations de transmission ; deux sujets se détachent:
• mauvaise préparation des cédants (surévaluation de leur affaire notamment),
• accès au financement pour les repreneurs.
Cela ne doit pas décourager tout repreneur individuel ou industriel de se lancer dans l’aventure de la reprise mais il faut le faire avec lucidité et, de préférence, en étant accompagné.

Encore faut-il avoir bien à l’esprit les critères de réussite:
• une cohérence entre le projet de reprise et le passé professionnel (ou
le domaine d’activité pour une reprise industrielle),
• des moyens de financement adaptés à un montage sécurisé par rapport à la valeur de la cible,
• une ouverture à des apports en fonds propres externes pour des acquisitions plus importantes.

Source Synercom

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